​

Au début, elles étaient seules.

Aujourd’hui ces CINQ SOLITUDES se confrontent à leurs excès

et à leurs manques.

Dans un huis clos mystérieux, chaotique et sensible elles sont cinq couleurs : jaune, rose, vert, violet et bleu.

​

La Femme de Trop parle de solitude, d’identité, de genre, du groupe, de l’être, d’humanité et de libération.

Elles se cherchent et se trouvent...dans la peau de l’autre...

Ces cinq drôles de femmes errent en quête de leur identité, du presque rien qui les remplit pourtant si singulièrement.

Elles chantent, voltigent, portent et dansent là où tout le monde a sa place mais où personne n’ose vraiment la prendre. Il suffit pourtant de si peu...

​

​